Ce sera bien moins drôle aux abords de Massilia,encombrée de chars modernes qui ne peuvent se déplacer qu'aux pas (à petits pas pendant 2 heures pour faire une dizaine de kilomètres en zigzaguant : il faut se le gagner ce combat de gladiateurs).
La foule bon enfant (tous amis dans l'adversité saine et fraternelle) est là dans l'enceinte colorée et ventée.Il ne fallait pas arriver en retard (because traffic jam, see above) car les Rouges&Noirs ont allumés les premiers pétards pour aller à dame
et faire le break fatal d'entrée et surtout maintenir la pression sur la partie par expérience : le champion perd sa couronne devant notre champion en toute logique;
Bémol dans cette organisation, puisqu'il est impossible de trouver une table (important pour la 3ème mi-temps) sur le vieux port pour manger aprés 23h30, et ne reste que l'emblème de la mal-bouffe pour nous caler petitement.
Par contre, dans les bars la bière coule à flot (mais les cocktails type margarita n'ont pas la priorité des serveurs) pour maintenir une ambiance conviviale (excepté les 3 énergumènes locaux à l'arme blanche - dont on se demande ce qu'ils pouvaient faire d'autre - qui nous décideront de rentrer vers nos pénates).
Le mistral nous rappelle que les nuits chaudes (courtes vêtues) peuvent vite se rafraichir.
Aprés une nuit écourtée, la journée suivante nous amène dans les calanques de Cassis,
Pour digérer, petite balade le long de la grande bleue,
(ça traine des pieds)
en bordure de quelques batisses honorables aux pieds desquelles les textiles se font rares (Itineris manuel pour mieux capter,têtes blanches,chaud devant,...à vous de décoder:))
Soirée barbecue entre amis au mas de Calas en finissant à la piscine : Le bonheur simple en se rappelant quelques souvenirs hilarants de nos expériences pro.
Sur le retour, arrêt au port de Martigues pour rendre visite au Yacht l'Esterelle (une balade la prochaine fois)