mercredi 15 décembre 2010

ARCACHON

Pour trouver un hébergement en période hivernale dans ce coin, il est préférable de se rabattre sur la grande ville du secteur.
Nous en trouverons donc un en centre ville, à l'hôtel de la plage, que nous ne verrons pas de la chambre puisqu'à une centaine de mètres de celle-ci, derrière le casino

En ce samedi soir, les pizzerias ont du succès, mais tant qu’à venir sur le bassin, autant faire fruits de mer et crustacés.Donc un plateau de fruits de mer chez Pierre (et non Bernard L. qui a quelques parts dans l’affaire) d’un côté et cabillaud à la plancha de l’autre avec un blanc de Bordeaux qui s’impose ;
Pour finir en beauté, profiteroles maison aux choux conséquents et Irish coffee pour se préparer à affronter l’air frisquet.

http://www.cafedelaplage.com/#/alentours

Crochet au casino, où on ne trainera pas (accueil peu aimable, pas la fibre joueuse).Réveil tellement matinal que nous irons gambader sur la plage et vers le port à l’allure modérée pour éviter de glisser sur le givre présent encore à 8h30 sur les pontons du port (bien plutôt que les coureurs d’I arribarem qui n’en croiront pas leurs oreilles);
Il n’y a pas bousculade à cette heure-là, hormis quelques mouettes courageuses.Petit déjeuner pour se caler pour la journée, et en route pour visiter la ville d’été (celle en bordure du bassin) calme de toute agitation, si ce n’est au marché où les pêcheurs dégustent les huîtres avec le blanc indispensable.



Ensuite, on prend de l’altitude pour grimper à la ville d’hiver et monter au sommet du belvédère

pour avoir une vue dominante sur les environs (malgré un léger vent qui fait frissonner l'édifice de 25 mètres - comme une bonne palombière - pour lequel Gustave Eiffel aurait aidé le principal ingénieur en chef de l'oeuvre Paul Régnauld),



et surveiller en même temps la régate qui a lieu sous nos yeux

mardi 14 décembre 2010

CAP FERRET

Les conditions météo étant plus propices à prendre l’air que la semaine précédente,
nous prendrons donc la route vers l’ouest et la côte atlantique pour aller découvrir le Cap Ferret, et humer l’air marin et iodé.

Après 3 bonnes heures,
surtout en faisant le tour du bassin avec la traversée de villes (Biganos,Andernos), villages (Taussat, Lanton, Arés,...)

à allure réduite
(une route plus rapide existe par Marcheprime et Blagon)

et bien que la circulation soit fluide
(les courses de Noël sont la priorité du moment),

nous arrivons enfin au phare,indiqué et apercevable du haut de ses 52 mètres en levant le nez;

Seulement, les visites ne se déroulent pas à cette période, et nous ne contenterons de l’allée des couleurs




et des photos extérieures

Dommage pour la vue du haut du phare et l'exercice des 258 marches à grimper.
Petite marche pour rejoindre les cabannes des ostréiculteurs sous le soleil.Ensuite direction la pointe extrême, pour découvrir la dune du Pyla vue de l’océan,
et le plaisir du calme et de l’immensité de l’océan relativement tranquille à cette occasion.Petite marche avec un arrêt collation sur les vestiges des blockhaus
qui résistent à la force de la mer et du temps.
Illusion d’optique avec ce cycliste qui a traversé l’océan et qui va retrouver la terre ferme.


Visite du "centre ville",
ou plutôt d’une animation discrète vers la jetée bélisaire - ponton d’embarquement pour traverser le bassin mais pas d’activité à cette période,
vraiment reposant et appréciable,
surement à l’opposé de ce qui se passe à la période estivale.

vendredi 3 décembre 2010

Poudre blanche

En cette fin de Novembre, avec l'arrivée trés précoce de la neige sur les sommets des pyrénées,
la 1ère escapade enneigée est à l'ordre de ce dernier week-end de Novembre.Au lieu d'aller s'enfermer dans les centres commerciaux pour préparer Noël,
direction l'Ariège qui nous illumine au loin.Nous déciderons sur la route de ne pas aller aussi loin que souhaité,
et irons au plateau de Beille.En fait, quelques kilomètres avant la station, nous profiterons du calme et de la virginité de la surface pour aller faire nos traces.Avec un peu de prétention sur notre condition physique, nous commençons par une montée sévère qui nous essoufflera au bout d'un bon quart d'heure.
Ravitaillement au soleil pour profiter de la vue apaisante sur les alentours recouverts d'une épaisseur conséquente.


Un pur moment de zenitude et d'exercice de début de saison.